38 choses que vous apprendrez en pratiquant l’haltérophilie (Partie 2)
Par samuel - Le 11 décembre 2017
Pour découvrir la première partie de notre article consacré aux 38 choses que vous apprendrez en pratiquant l’haltérophilie, cliquez ICI !
Par Matt Foreman
- Savoir lever la barre correctement n’est que la moitié du succès. Savoir passer sous la barre et la maintenir en est l’autre moitié.
- Les choses que vous faites ne concernent pas que vous. Elles affectent également les personnes qui travaillent dur pour que vous réussissiez. Vous devriez donc penser à cela lorsque vous prenez des décisions.
- Arnold Schwarzenegger a déclaré : « De nos jours, tout le monde est trop préoccupé par le surentraînement ». Il a raison.
- Crier et grogner n’est pas nécessaire en haltérophilie, mais c’est vraiment cool quand ça arrive.
- Ce n’est pas la taille des cuisses qui compte. C’est la masse musculaire de vos fessiers.
- Contrairement à la croyance populaire, la plupart des athlètes ne lèvent pas correctement lorsqu’ils sont énervés. La plupart des athlètes réalisent leurs meilleures performances quand ils sont de bonne humeur.
- Si vous faites ce sport depuis trois ans, vous n’en savez probablement pas plus que quelqu’un qui le fait depuis trente ans.
- La philosophie selon laquelle «Tout fonctionne, mais rien ne fonctionne pour toujours» est erronée. Alors que certaines choses ne fonctionnent vraiment pas, d’autres fonctionneront pour toujours.
- Si l’athlète présente une position basse naturellement flexible et un bon verrouillage des coudes, il aura un avantage immédiat en haltérophilie, qu’il soit fort ou non.
- Si un athlète bat un record du monde, c’est qu’il a certainement une bonne technique, peu importe à quoi elle ressemble.
- Entraîner un athlète olympique ne fait pas de vous un excellent entraîneur. C’est la création de plusieurs haltérophiles de haut niveau sur une longue période de temps qui le fait.
- Oui, vous pouvez vous blesser en faisant ce sport. Vous n’avez pas d’assurance absolue. Mais c’est comme ça dans n’importe quel sport où vous pousserez votre corps dans ses limites. Il y a un risque à être un athlète, c’est simple et clair.
- Si vous êtes têtu et que vous refusez d’écouter qui que ce soit, vous n’aurez de reproches à faire qu’à vous-même lorsque vous serez blessé ou que vous échouerez.
- Le développement de la technique des lifts olympiques est un processus continu qui s’étalera sur toute votre carrière. Une fois que vous aurez la bonne technique, vous devrez travailler dur pour la garder. Parce que vous pouvez la perdre. Lorsque vous perdez votre technique, il est très difficile de la récupérer. Mais cela peut être rattrapé avec beaucoup de travail.
- C’est un sport de bosseurs. Si vous êtes paresseux, il n’y aura pas de miracle.
- Dire à un sportif que vous ne le pensez pas capable de réussir quelque chose peut le motiver à réaliser de plus grandes performances. Tout simplement pour vous démontrer que vous avez tort. Cela peut aussi le décourager, parce qu’il pensera que vous ne croyez pas en lui. Il pourrait même vous haïr pour cela. Comprenez bien les personnalités que vous avez devant vous avant d’entreprendre une quelconque expérience.
- Si vous êtes fort mentalement, la musique qui passe dans vos écouteurs n’a aucune importance.
- Si vous êtes un entraîneur, ne renvoyez pas les enquiquineurs hors de votre box trop rapidement. Ils pourraient devenir des athlètes formidables.
- Continuez à venir régulièrement à la salle et travaillez dur.
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