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9 profils de crossfitteurs/crossfitteuses que vous pouvez croiser à la box : lequel êtes-vous ?

Par Arnaud - Le 25 mai 2016

Source: crossfitsouthbay.com
Source: crossfitsouthbay.com

Lors de vos entraînements à la box, vous avez l’opportunité de croiser et d’observer vos camarades crossfitteurs/crossfitteuses, chacun ayant son propre caractère. Voici une petite compilation des profils les plus courants dans l’univers du CrossFit ®*.

1. Le destructeur d’échauffement

« Ok tout le monde, allez-y doucement lors de l’échauffement, pas besoin de se précipiter« . Ce n’est pas le cas pour tout le monde dans votre classe. Pour le destructeur d’échauffement, votre coach aurait pu très bien dire « 3,2,1 GO! ». Alors que vous prenez le temps avec vos air squats et sur la forme de vos pushups, un léger regard de côté montre le destructeur en train de « broyer » l’échauffement comme si sa vie en dépendait. Pas besoin de jouer la prudence pour les destructeurs. La gloire de finir l’échauffement en premier est tout ce qui compte.

2. La bête torse nu

Cela ne fait pas deux minutes que le wod a commencé et la gêne est déjà trop grande pour la « bête ». Une fois torse nu, et avec ce nouveau sentiment de liberté, il est prêt à continuer le wod et à transpirer à sa guise. Qu’il pleuve ou qu’il vente, son t-shirt est introuvable. Et ne pensez pas que ce comportement est seulement réservé aux hommes…

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3. L’emprunteur d’équipement

Lorsque vous voyez débarquer ce type d’athlète à la box, évitez d’établir un contact visuel. Alors que l’emprunter d’équipements déambule dans les recoins de la box à la recherche de wrist-wraps et d’une bande élastique, faites en sorte de devenir invisible ou dirigez-vous vers les toilettes de peur qu’il vous demande si vous avez des équipements en rab qu’il peut utiliser pour la classe.

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Mais faites attention ! Parfois, emprunter votre équipement n’est pas assez pour vos camarades qui ont tendance à tout oublier. Ils ont aussi besoin d’emprunter votre matériel. Ne pensez pas que votre barre de pull-up, votre haltère ou votre kettlebell sont en sécurité. De quoi vous motiver à minimiser les breaks pendant le wod pour être sûre que votre équipement et votre matériel restent le vôtre.

4. Le monstre de magnésie

Faciles à repérer grâce à la trace de poudre blanche laissée sur leur passage, ces monstres se couvrent de magnésie et également tout ce qu’ils touchent. Inondé dans un nuage blanc, leur accoutumance à la magnésie est aussi exaspérante que leur besoin de l’utiliser pour tous les exercices.

5. L’hurleur

Chacun a le droit de grogner et de hurler pendant un jour de Rep Max (1RM) ou un workout particulièrement difficile. Mais la situation change lorsque le hurleur fait son apparition. Oh oui, n’oubliez pas vos écouteurs, car peut importe le wod, la seule chose de sûre est que du début a la fin les cris du hurleur ponctueront votre séance. Et cela continuera jusqu’à ce que vous décidiez de changer de classe pour vous libérer de ce vacarme assourdissant, ce qui ne fera pas de mal à votre psychisme.

6. M./Mme Selfie

Pour Monsieur ou Madame Selfie, un workout n’est pas terminé jusqu’à qu’une preuve bien mise en scène ait été postée sur Instagram. Si vous vous retrouvez à côté de cette personne à la fin d’un wod, il/elle vous demandera sans aucun doute « Salut, est-ce que tu peux me prendre en photo? ». Ce qui veut en faire dire: nous serons là jusqu’à tant que la photo soit parfaite donc soyez prêt.

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7. Le bavard

Vous essayez d’être au maximum pour le wod difficile du jour ? Alors, prenez vos distances avec le bavard ! Bien sûr, la communauté fait partie intégrante de l’expérience CrossFit ®*, mais avec le bavard, il n’y a aucune limite. Cette personne est particulièrement dangereuse pendant les breaks. Donc, agissez prudemment.

8. Le no-repper

Si vous pensez que le no-repper observe et crie « no-rep » pour faire en sorte que les crossfitteurs/crossfitteuse soient honnêtes, alors vous avez été induits en erreur. Le no-repper est très connu pour sacrifier la forme des mouvements pour le temps et le poids. Oui, le no-repper vient de réaliser un squat de 180 kg, mais cela ressemble plus à une légère flexion du genou qu’à un squat complet. Une gamme complète de mouvements ne fait pas partie de son vocabulaire.

9. Le/la septique

Avec cet athlète après un wod, la suspicion est de rigueur. « Il n’est pas possible qu’ils aient fait autant de reps », se dit cet athlète en son for intérieur. Les temps et les reps sur le tableau blanc sont plus des estimations que des chiffres solides. « 30 reps for time?’’. Lorsqu’il s’agit du septique, c’est plutôt « environ 30 reps for time’.

Inspiré et traduit de l’anglais depuis l’article de BoxLife Magazine.

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